vendredi 27 septembre 2013

"L'éternité n'est pas de trop" - François Cheng




L'éternité n'est pas de trop

De François Cheng, éditions Albin Michel,
Résumé :
A XVIIe siècle, à la fin de la dynastie Ming – époque de bouillonnement et de bouleversement, où l’Occident même était présent avec la venue des premiers missionnaires jésuites en Chine -, dans un monastère de haute montagne, un homme qui n’a pas encore prononcé ses vœux se décide à quitter ce lieu de paix et de silence pour retrouver, trente ans plus tard, la seule femme qu’il ait jamais aimée.
Un roman d’envoûtement et de vérité, récit d’une passion – celle d’un « Tristan et Iseult » chinois, avec ses codes et ses interdits aussi précis que stricts – qui n’est pas seulement affaire de cœur et des sens, mais engage toute la dimension spirituelle de l’être, ouvrant sur le mystère de l’univers et le transfigurant.
Mon avis:
Déception... J'ai lu plusieurs ouvrage de François Cheng, et j'ai toujours beaucoup aimé sa prose, son sens de la poésie et du bon verbe. Mais dans ce livre, je me suis un peu ennuyée. Il a essayé de retranscrire une histoire lu dans un vieux parchemins chinois disparus.
L'histoire en elle même est intéressante : Vers la fin de la dynastie Ming, au 17ème siècle, un homme vivant dans un monastère reclus dans une montagne n'a pas encore prononcé ses vœux. Il décide de quitter ce lieu de méditation, de paix intérieure et de "zen" pour retrouver une femme qu'il a aimé il y a trente ans de cela...
Mais j'ai eu l'impression qu'il a essayé de trop magnifier l'histoire, du coup, il y a pas mal de redondance, de lourdeur dans la lecture.
Il a utilisé sa plus belle plume, trop belle sans doute... Car il manque de simplicité.
En bref :
Moyen

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